Christina Rosmini
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Dès sa première chanson, ce petit bout de femme a capté et emmené les spectateurs dans son périple aux bords de la méditerranée. Avec ses textes tendres, sensibles et profonds, sa musique aux accents du soleil et son sens du contact elle a offert un grand moment de bonheur, rayon de soleil dans la grisaille hivernale de la Normandie.
Accompagnée à la guitare par un excellent Bruno, elle a marqué les esprits de nos fidèles abonnés qui l'ont plébiscitée trois fois à la fin du spectacle.
Christina Rosmini c'est un «grand » monument de la chanson française, trop peu connue, même si certains textes mêlent français, espagnol, corse.
Daniel Depincé, Programmateur Agneau
Belle comme une Esmeralda, avec des cheveux qui n’en finissent pas de serpenter, bouclettes italiennes, sourcils corse, espagnole si on la cherche, un anneau de gitane à l’oreille, une épaule qui sent la garrigue et qui chante Paname, avec au bout des mirettes toujours des castagnettes. Ce petit bouquet de senteurs s’appelle Christina Rosmini. Elle vit sous l’oranger de ses ancêtres, chante sous l’Oranger titre de son 1er album paru au Chant du Monde et qui tangue vers D’Autres Rivages, titre de sa nouvelle création, entre les voiles d’une chanson méditerranéenne et le petit rocher solitaire du chant révolutionnaire.
Yasmine Chouaki, Journaliste - RFI, EN SOL MAJEUR
Auteur-compositeur-interprète, Christina Rosmini est l’une des belles surprises de la scène française de ces dernières années. Née à Marseille dans une famille venue d’Espagne, de Corse et d’Italie, elle a su créer un univers musical original, qui chante la Méditerranée avec intensité et finesse. Son répertoire est un véritable hymne au partage, aux échanges, à la vie, à l’amour... Son premier album, « Sous l’oranger » (Harmonia Mundi, 2009) a été largement salué par la critique, et l’a amenée sur les scènes de France, d’Amérique Latine, d’Inde et du Moyen-Orient. Partout, sa grâce et sa puissance émotionnelle rares touchent au cœur le public. La voir sur scène chanter, danser, jouer, s’exprimer, nous rend meilleur !
Nadia Khouri-Dagher, Journaliste - Babelmed.com
Christina Rosmini est une des rares chanteuses à faire flotter ses convictions et ses indignations avec force et panache. Sa voix ambrée comme la caresse des soleils du sud inonde son chant d’une émotion vive et nuancée. Rebelle et profonde, languide et gourmande, naïve aussi mais toujours convaincante, ardente et comme emportée par un souffle de liberté à contre-courant des modes, elle nous invite à la rejoindre dans son univers grâce à un ton très personnel qui fait ricocher sa poésie sur les rivages d’une Méditerranée dont elle nous raconte les histoires.
Richard Martin, Directeur du Théâtre Toursky - Marseille
Christina Rosmini, ne fais pas partie de ces stars (filantes) de la chanson française qui naissent et disparaissent, le temps d'un joli coup. Ce qui la caractérise ? C'est qu'elle est dans la durée tout en gardant cette liberté qui fait d'elle une artiste créole, à l'identité rhizomatique pour se la jouer Deleuze ou Glissant. L'art de Christina a bien une frontière, une topologie, une racine, mais elle a le chic des les ignorer. Comme le rhizome. Sa musique puise un peu partout et nul part mais on ce sentiment de savoir d'où elle vient. Contrairement à un betterave, avec une racine unique, le rhizome admet une identité multiple, née non pas du passé mais de relations qui se tissent au présent. L'identité "rhizome" reste à se construire au présent. Elle n'admet ni un seul lieu d'origine, ni une histoire familiale précise, elle naît des relations qu'elle crée. C'est ainsi que je décrirais la musique et l'art de Christina . Ils s'opposent radicalement à la conception répandue en Europe de l'identité "racine." Son art est hybride, créole, rhizome, car il se veut universel.
Armando Coxe, Journaliste - Radio Grenouille
Un coup de coeur pour cette artiste, Christina Rosmini. Vous aimez la chanson, l'Espagne, (et de manière plus large la Méditerranée), les spectacles avec une belle mise en scène, alors tout est réuni pour que vous appréciez autant que moi... Je ne peux que vous recommander chaudement d'aller voir, entendre et vous rendre compte par vous même... Ce n'est pas de la musique traditionnelle, on est bel et bien dans un registre chanson... j'en ai écouté plus d'un s'essayant à réunir ses racines musicales et culturelles avec des textes en français, exercice qui peut être périlleux ! Là je trouve ça formidablement réussi, je m'y reconnais, et je vibre... mais je sais aussi que c'est très subjectif. Donc vous voulez avoir une idée avant, allez faire un p'tit tour sur sa page myspace, vidéos avec extraits du spectacle + itw... Vous aimez, faites le savoir, faites tourner... et venez sur ses Rivages. Une belle voix et une belle âme à découvrir! Et entourée par de superbes musiciens.
Valérie Mauge, Harmonia Mundi - Futur Acoustic, Myself
Les spectacles se succèdent tout au long de l’été certains gratuits, comme le remarquable récital D’autres rivages de Christina Rosmini, marraine du théâtre, qui a régalé un public nombreux (1300 personnes) de ses chansons au beau métissage méditerranéen : elle danse, chante, « tchatche » avec son public en bonne Marseillaise, avec un charisme toujours renouvelé. Un spectacle de haute qualité artistique et morale.
Benito Pelegrin, Critique de théâtre, opéras, concerts
Christina Rosmini, la chanson comme art de vivre. Loin de la notoriété formatée des radio-crochets télévisés, des artistes au talent brut creusent patiemment leur sillon. Christina Rosmini appartient à cette catégorie de chanteuses. Méditerranéenne jusqu’au bout des ongles, elle chante avec une voix d’or sa foi dans la beauté du monde. Sous l’Oranger, son premier album, est sorti chez Harmonia Mundi “Le Chant du Monde”. « La chanson est un art premier, une expérience indispensable à l’être humain. Depuis toujours, les émotions sont exprimées par le chant, et c’est ce que les bébés entendent en premier ». Christina Rosmini aborde avec exigence son métier de chanteuse. Cette marseillaise d’origine espagnole fait partie de ces artistes souvent méconnus du grand public, au talent pourtant éclatant. Son univers aux accents andalous, enflammé comme un feu de joie tzigane, est imprégné du bonheur intense d’être vivant. Ses chansons sont des fruits gorgés de soleil, et la sensualité des corps y côtoie le mystère bienveillant des âmes. Elle les interprète d’une voix chaude et lumineuse, riche en nuances, étonnamment puissante pour cette jolie brune d’à peine 1 mètre 60.
Chanteuse populaire. Sous l’Oranger, son premier album, est sorti l’an passé sous le label Chant du Monde d’Harmonia Mundi. Cette passionnée de l’existence n’ignore pourtant rien des difficultés de la vie d’artiste. Sur scène depuis une vingtaine d’années, Christina Rosmini a largement eu le temps de mener son lot de combats professionnels. Pendant longtemps, elle a produit elle-même ses spectacles. « On n’imagine pas l’immensité du travail technique et administratif qu’il y a derrière chaque concert. C’est tentaculaire ». Christina Rosmini n’a pourtant rien d’une chanteuse de second rang. Formée à la danse et à la comédie, elle a trouvé « dans la chanson le moyen de tout faire en même temps, pour réunir en un seul spectacle tout les arts de la scène ». Et la scène, c’est peu dire qu’elle connait. Elle apprend la danse à l’Opéra de Marseille, dans l’école de Roland Petit. Suit la formation de chant du Studio des Variétés à Paris. Dans les années 90, elle se produit au Casino de Paris, comme invitée soliste de Georges Moustaki. Enchaîne sur des comédies musicales, notamment Les Z’années Zazou, de Roger Louret, aux Folies Bergères. Embraie avec le même Louret sur une émission de télévision, Les années Tubes, dont elle assure également les arrangements vocaux.
A l’orée des années 2000, la chanteuse quitte l’univers de la variété pour se lancer en solo avec son propre répertoire. Elle donne des concerts au Brésil, en Inde, assure en 2002 la première partie de Marianne Faithfull au festival marseillais La Fiesta des Suds. Un an plus tard intervient une rencontre essentielle : à sa demande, le pianiste de Richard Bohringer la met en contact avec Etienne Roda-Gil. Comme les grands-parents maternels de la chanteuse, le parolier d’origine catalane a fuit l’Espagne avec sa famille pour échapper au franquisme. Au-delà de ces origines communes, Christina Rosmini vibre d’admiration pour celui qui « a porté la chanson au rang de véritable art populaire, imprégné de poésie, capable d’amener la culture à ceux qui n’y ont pas accès ». Entre les deux artistes, le courant passe immédiatement. Hélas, l’auteur de Ce n’est rien ou de Si on chantait meurt prématurément le 28 mai 2004, à l’âge de 62 ans, sans avoir eu le temps de lui écrire de chansons. Roda-Gil restera malgré tout pour Rosmini une référence absolue, « un guide », qui insuffle l’esprit qu’elle entend donner à son métier.Il faut l’entendre interpréter Utile, la chanson que le parolier écrivit en 1992 pour Julien Clerc, pour comprendre l’intensité du lien qui unit la chanteuse au souvenir de l’écrivain. Portés par la ferveur de cette voix féminine, l’émotion et la sincérité de l’interprétation confèrent aux mots de Roda-Gil toute leur plénitude. Le chant comme un art « utile à vivre et à aimer » accède à la puissance incontestable d’une forme de vérité.
Engagement. Résolue à « chanter jusqu’à [sa] mort », la chanteuse n’a jamais raisonné en termes de carrière, même si elle se félicite d’avoir aujourd’hui le soutien d’une grande maison de disque et d’un producteur. Son engagement est ailleurs, dans son choix inflexible à « forger [son] propre destin », à vivre totalement son métier d’artiste, à créer en permanence les conditions de la rencontre avec le public. On sent aussi chez cette grande amoureuse la volonté d’affirmer la place du féminin dans un monde toujours dominé par les hommes, « où les femmes n’ont pas encore tout à fait le droit de devenir elles-mêmes, d’être créatives, et dont même le désir charnel n’a pas le même poids que celui des hommes ». Aussi des chansons comme Harem ou Tranquille sont-elles de mutines invitations à prendre connaissance de la libido féminine. Et ce n’est-ce probablement pas un hasard si elle ne s’entoure que d’hommes sur scène, tous excellents musiciens. Elle en partage d’ailleurs certains avec une autre croqueuse d’hommes, une chanteuse au passé de mannequin, fraîchement épousée par l’actuel résident de l’Elysée. Certes, Christina Rosmini n’habite pas encore dans un palais. Cela ne l’empêche pas de se produire en concert à la manière d’une « princesse joyeuse ». A l’écouter chanter, l’expression n’est pas usurpée.
Joévin Canet, LE MAGAZINE.INFO
Christina Rosmini, chanteuse Marseillaise aux origines Espagnoles, Corses et Italiennes, effectuait le 11 juillet dernier son tour de chant intitulé d’Autres Rivages, sur la scène du théâtre Silvain.
Artiste sensible, généreuse et proche de son public, elle a emporté dès ses premiers morceaux l’enthousiasme du public au complet ce soir là : Plus de 1500 personnes étaient en effet venues applaudir l’enfant du pays! Par sa voix suave, à la fois chaude et claire, et son décor digne des mille et une nuits, nous voici parti vers un pays imaginaire mêlant la chaleur et l’exotisme de l’Andalousie, la souffrance des peuples nomades et la douceur de la méditerranée. De Méditerranée, mer aimée et aimante qui a forgé sa culture, est d’ailleurs le titre d’une de ses chansons.Mais Christina ne fait pas que chanter. Ancienne élève de l’école de danse de Roland Petit à l’Opéra de Marseille, elle utilise sur scène son savoir et enchante ses compositions de quelques pas inspirés du flamenco et des danses Orientales. Un spectacle haut en couleurs et riche de sonorités diverses. Des morceaux phares de son album Sous l’oranger à ces nouvelles compositions, les cultures se mêlent allègrement durant cette représentation.Spectacle par ailleurs teinté d’humour puisque Christina n’en manque pas…Mêlant comédie et sensualité, originalité et volupté, elle a su faire rire et parfois même provoquer l’hilarité dans l’assistance. Un spectacle absolu et protéiforme pour un une invitation au rêve ou un embarquement vers une croisière Méditerranéenne vers... d’Autres Rivages.
Muriel Tancrez, La Revue Marseillaise du Théâtre
Faut-il présenter à Marseille cette Marseillaise Christina Rosmini même si, sur les ailes du succès, elle a couru le monde jusqu’au Brésil ?
On l’a vue sur les écrans du cinéma, à la télé, on l’a entendue dans les radios. Paris nous la rend enfin un peu et elle fait une halte à Marseille, son port d’attache avec lequel elle ne rompt jamais les amarres.
Elle y vient fidèlement présenter, après Sous l’oranger qui, parti d’ici alla longtemps refleurir ailleurs, son nouveau spectacle, D’Autres Rivages.
Depuis notre rive phocéenne, en ensemble cohérent de dix-sept chansons dont douze nouvelles pour cinq succès figurant dans son précédent album. Son équipe change et s’enrichit : Bruno Caviglia et Manuel Delgado aux guitares, Xavier Sanchez aux percussions et Sébastien Debard à l’accordéon.
Personnellement, je revois sur les bancs de l’université cette étudiante studieuse, sérieuse et rieuse, brûlant déjà les planches du théâtre de la Faculté des lettres d’Aix, chantant et dansant le flamenco. Puis le cinéma, le théâtre l’ont saisie au vol.
Elle fut, sur le texte de Mérimée Carmen la nouvelle de Louise Doutreligne, en version bilingue, français-espagnol, promenée deux-cents fois en France et en Espagne, avec une escale à guichet fermé au théâtre Gyptis. Ensuite, elle écrit et crée une pièce de théâtre musical sur l’Espagne médiévale des trois cultures, illustrant son rêve, son utopie, de coexistence harmonieuse des trois religions du Livre, Al-Andalus, le Jardin des Lumières lors de festival d’Avignon 2002 faisant une étape aixoise pour Horizontes del sur. Mais cette militante humaniste, féministe, très engagée socialement, ne s’arrête pas là et écrit et monte un autre spectacle sur le Front Populaire et les premiers congés payés au beau titre Au Devant de la Vie.
Cependant, c’est la musique et la danse qui sont l’étincelle et le feu de cette flamme vive à la voix ardente et fruitée.
Avec ses origines espagnoles, corses et italiennes, cette vraie Marseillaise se définit fort justement comme une « chanteuse méditerranéenne ». Sa chanson De Méditerranée, qu’elle interprète encore avec une fougue irrésistible, mêlant rythme de la sévillane andalouse et de java parigote, est un vrai manifeste personnel, familial et, finalement, universel dans le local.
Il faut le souligner : à tous ses talents de comédienne, de danseuse, de chanteuse, il faut ajouter, essentiellement, celui d’auteure, compositrice et interprète. Car, même si elle ne dédaigne pas des chansons de grands auteurs (dont Roda-Gil), les siennes sont un plaisir d’intelligence, d’humour, de rythme, de poésie. Dans son album, Sous l’oranger, on trouvait déjà, dans un mélange hispano-arabo-français de la meilleure bonne humeur, de petits joyaux autobiographiques, des confidences malicieuses (En anana, en annana, en analyse, le rêve féministe coquin de harems masculins) ou plus émouvantes de pudiques déchirements intimes.On retrouve ici cette même veine. Son militantisme politique au sens noble du mot s’exprime avec vigueur par le fameux Quinto regimiento, sur la fondation de ce régiment de volontaires à l’initiative des partis communiste et socialiste pour combattre Franco dès le lendemain de son soulèvement contre la République espagnole. Cela se chantait sur l’air d’une chanson du folklore andalou, Anda jaleo !, en réalité héritage musical d’une air célèbre du début du XIX e siècle, El contrabandista, de Manuel García, le grand chanteur et compositeur espagnol, père de la Malibran et de Pauline Viardot. Son engagement pour une culture métissée se manifeste encore par l’interprétation d’un tango algérien, d’une poétique chanson sur les origines arabes de Ramatuelle qui signifie ‘digne d’Allah’, par une autre sur la Vierge des gitans, Sara Kali, des Saintes-Maries-de-la- mer et une autre d’inspiration indienne.
À chaque fois, avec une grande justesse et une belle stylisation chorégraphique (Pazit Grossmann), avec de magnifiques gestes avec l’éventail, le voile et le mantón de Manila, avec ses postures du corps, l’intégration des musiciens (mise en scène Agnès Boury) elle est danseuse de flamenco, de tango, gitane ou indoue, dans une magnifique robe rouge à géométrie variable (Claire Swartz et Dany Michels). Ses immédiates racines familiales, elle les déballe avec une sorte de touchante et pudique impudeur avec un hommage à son père, même à son frère, et toujours bouleversante en évoquant tendrement, poétiquement, sa mère disparue. Sa voix, sans rien perdre de la couleur fruitée et feutrée de son médium a gagné d’assurance dans des aigus éclatants. Oui, Christina est originale, singulière, son charisme, sensible. Que faudrait-il pour que cette magnifique interprète, qui soulève les spectateurs nombreux de ce grand théâtre marseillais, touche les plus vastes auditoires qu’elle mérite ? Peut-être devrait-elle, tout en restant elle-même, sortir justement un peu d’elle-même en élargissant son répertoire vers le général pour gagner une généralité de public.Ce spectacle, avec un beau décor de paravent à moucharabiehs (Charlotte Villermet), de belles lumières (Fred Millot) qu’on espère vite sortir en album, mérite aussi un DVD et doit voguer de rivages en rivages.
Benito Pelegrin, Critique de théâtre - opéras - concerts (Marseille et région PACA),
CLASSIQUE NEWS, AUTRE SUD, LA REVUE MARSEILLAISE DU THÉÂTREB.P. chroniqueur à la Provence , La Marseillaise, L'Éveil-Hebdo, au Pavé de Marseille, LE RAVI, à RUE DES CONSULS (revue diplomatique) et à L'OFFICIEL DES LOISIRS. Emission à RADIO DIALOGUE : "Le Blog-notes de Benito".
LIVRE D'OR
"C'était génial, vous nous avez emportés dans un voyage merveilleux. Continuez. Merci à vous."
"Vous m'avez touchée, vous étes remplis d'amour, de partage, de joie, de sincérité, ne changez pas, vous m'avez touchée mon Corazon. Besos"
B. Murielle
"Bravo pour le concert, première fois que je vous entends, et j'ai déjà hâte de vous revoir en concert. Du talent, de belles paroles, et une ambiance de soleil. Je vous souhaite toute la réussite possible."
G. Alexandre, de Vias
"Merci pour votre énergie, et vos mots si beaux ! Merci pour ce merveilleux voyage."
C. Christel
"Un super spectacle, une voix formidable.... que de talent. J'ai adoré et espère vous revoir un jour. De l'amour, de la douceur, de la poésie, et du voyage. Encore une fois tu m'as menée dans ton univers plein de saveurs et d'amour. Ta Lola."
B. Myléne
"Beau spectacle, beaucoup de charme, professionnel. De plus, la méditéranée comme thème, quelle épopée ! Le berceau des civilisations, merci, beaucoup de classe."
"Une voix magnifique et une musique rythmée, un remède pour passer une exellente soirée."
N. Laurent, de St-Pierre-La-Mer
"Merveilleux moment de simplicité, de pureté, de vérité. Continuez dans le mélange des genres et des continents. Continuez de rassembler... Merci."
A. Dom et Flo
"De vrais artistes, Une présence énorme, des émotions passent."
D. Joel, de Mirande
"Amour, passion, bonheur, harmonie, joies = cocktails de folie pour réchauffer nos cœurs. Merci à tous pour ce magnifique spectacle."
S. Giséle de Digne
"Je ne sais pas, si c'est la fatigue de la journée, ou autre, c'est un peu maladroit, mais tout ça pour vous dire que vous m'avez touché, que votre musique et votre histoire m'ont touchées. Parfois j'avais les larmes aux yeux. Très beau spectacle. Tout était parfait, que ce soit la danse, les gestes, les instruments, la mise en scène et décors, les émotions, les messages dans les chansons. Merci."
L. Amélie
"Un vrai régal. Quel voyage, quelle poésie, quelle voix, et quel unvivers. Merci milles fois pour ce moment inoubliable."
Franck, de Serignan
"Christina, vous chantez très bien. Vous êtes à la fois conteuse et poète. Vous êtes très souriante et vous laissez votre public entrer dans votre univers, grâce à votre origine et votre talent. Merci, pour cette transmission de votre talent."
V. Sabine de St-Lary
"Très beau spectacle riche en émotions. J'ai beaucoup apprecié votre message d'amour, savoir s'ouvrir aux autres. Bonne continuation. Vous formez un très beau couple d'amour et de musiciens."
V. Agnès de Labaume