PEUPLES DE MARSEILLE

Percussionniste

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Dès l’âge de sept ans, Nadia Tighidet reçoit un enseignement classique « à l’ancienne » du piano. Mais très vite, elle lui préfère le jazz, qu’elle pratique pendant cinq ans avant que son professeur ne fasse ce constat : cette élève-là ne joue pas du piano, elle tape dessus…

À 15 ans, elle abandonne alors ses gammes pour les percussions traditionnelles cubaines, à l’école de percussions Kunga’ka. Repérée par une chanteuse malgache, elle intègre le groupe « les Soul’ mama’s », apprivoise sa voix et écume, à seize ans, les cafés concerts de Marseille, puis de la région. L’aventure dure plus d’un an tandis qu’elle poursuit son apprentissage harmonique et choral en option musique au lycée Montgrand de Marseille.

Élargissant peu à peu son set avec les percussions espagnoles et arabes, elle collabore ensuite avec des musiciens de la scène world marseillaise comme Sayon Samba ou Pépé Oleka, avant de co-créer le groupe de compositions NHAO. Un album naît de cette longue et belle aventure Le Cri du zarb.

En 2014, Nadia rejoint Les Dames de La Joliette, dirigées par Gil Aniorte Paz, expérience grâce à laquelle elle trouve l’occasion de se révéler dans un art qui l’a toujours fascinée : les chants polyphoniques et traditionnel.​

Chanteuse

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Née au Maroc, à Casablanca, Hind Chraïbi s’imprègne dès l’enfance d’une ambiance musicale qui ne la quittera jamais. Après un cursus universitaire mené et deux années au conservatoire en classe de Mouachahat (répertoire de chant arabe) Hind se rend à Paris poursuivre ses études de littérature francophone.

C’est là qu’elle va nourrir son inspiration artistique en rencontrant d’autres styles musicaux : chanson française, jazz et musique latine.

A Aix-en-Provence, où elle s’installe, Hind va prendre son envol : Musique orientale bien sûr, mais aussi musiques du monde au sein de différentes formations et dans des « seule en scène » qui embrassent dans un même élan de fraternité universelle, tradition musicale et modernité. Son héritage musical est celui des Divas de la chanson arable - Oum Kalsoum, Fairouz, Asmahan. Hind y puise ses propres émotions, et le chant qui s’élève émane d’une chanteuse en parfaite harmonie avec elle-même et son public, qui, toutes cultures confondues, sensible à la voix et à la démarche de l’artiste, ne cesse de s’élargir.

Danseuse

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Pazit Grossman s'initie à la Danse orientale à Paris puis enrichit sa technique lors de master classes au Maroc, en Israël et en Egypte.

Elle explore aussi, entre autres, l'univers de la danse contemporaine qu'elle intègre

à son art. Elle donne une grande importance à des notions telles que la prise d'espace, la compréhension de la musique et son interprétation par le mouvement dansé.

Elle cherche d'ailleurs son inspiration dans des musiques variées : musiques du monde, électroniques, classiques ...

Si sa danse est certes ancrée dans la plus pure tradition orientale, elle est cependant bien loin des clichés trop souvent rattachés à ce style.

Aujourd’hui installée à Marseille, elle est également coatch-sportif et consultante en nutrition, et accompagne de nombreuses femmes dans une recherche de santé et de bien-être.

Chanteuse et compositrice

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​Originaire de Messine, en Sicile, Luisa Briguglio est une artiste aux multiples facettes qui fusionne la danse, le théâtre et la musique dans une carrière éclectique. Après avoir étudié la danse et le théâtre et obtenu un diplôme en littérature moderne, elle a exploré différents genres musicaux, passant de l'italien traditionnel du sud à la musique latino-américaine et cap-verdienne. Depuis 2017, elle est la chanteuse principale du groupe PopulAlma, avec lequel elle a sorti deux albums. Elle a également travaillé au théâtre en tant qu'actrice et assistante à la mise en scène, créant des spectacles tels que « Percée » et « Cantu e cuntu ». Depuis 2023, elle fait partie du groupe El colectivo et, la même année, elle est devenue la chanteuse principale de 'Ngasa 'Ngasa, enregistrant le single 'Safari'. Son projet personnel, qui comprend l'écriture en dialecte sicilien, explore les racines culturelles et littéraires, combinant tradition et innovation dans une musique qui reflète la complexité de sa patrie.

Traduit avec DeepL.com (version gratuite)

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Danseuse

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Sarah Moha a toujours aimé danser.
À 9 ans, elle commence par des cours de jazz à Marseille, puis de contemporain à Montpellier.
Elle se tourne vers les danses traditionnelles attirée par leur force et leur énergie : la danse africaine à Paris et en Côte d’Ivoire et le flamenco en Espagne (Madrid et Andalousie).

Depuis plus de 20 ans, elle transmet l’art et la passion sur scène et dans les cours et ateliers qu’elle conduit.
Elle aime profondément les rencontres avec d’autres disciplines et musiques (indienne, orientale, actuelle, hip-hop, jazz,…) et d’autres formes de spectacle : conférence dansée, théâtre, performances en lieux non dédiés, extérieurs notamment.

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